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Piégé sur le Web, il se suicide!!



A Brest, un jeune âgé de 18 ans a été victime d'un chantage organisé sur Internet.

Après une discussion sur Facebook, il a décidé de mettre fin à ses jours. Un jeune brestois de 18 ans a été poussé au suicide, il y a quinze jours, suite à un chantage sur Internet, relate Le Télégramme samedi. Une inconnue l'a fait chanter pour une vidéo gênante qu'elle a capturée par webcam interposée et qu'elle menaçait de rendre publique à tous ses contacts.

"Il est rentré du lycée assez tôt ce mercredi après-midi, il finissait à 14h30. Il est monté dans sa chambre, il a pris l'ordinateur portable. Comme pour tous les jeunes, sa chambre était son univers. Je suis montée le voir vers 16 heures et il m'a dit de le laisser. À 17 heures, je l'ai vu sortir, discutant au téléphone. Il avait l'air absent", raconte sa mère au Télégramme.

Moins d'une demi-heure plus tard, il est retrouvé entre la vie et la mort, pendu dans l'abri de jardin, et décédera une semaine plus tard.

Une rencontre sur "Chatroulette"

Le jeune homme est entré en relation avec cette jeune fille d'abord sur "Chatroulette", un site d'échange par vidéo, avant qu'il ne devienne ami avec elle sur Facebook. Par webcam, les deux adolescents se sont livrés à un effeuillage à distance, précise le quotidien régional. "J'ai une vidéo porno de toi. Si tu ne me donnes pas 200 euros, je vais détruire ta vie", a ensuite menacé la jeune fille.

Ce chantage contre le jeune garçon a pour provenance un cybercafé en Côte d'Ivoire. Une plainte a été déposée contre X. Mais il sera sûrement difficile, voire "impossible" de retrouver le ou les auteurs, selon François Dresen du parquet de Brest.

Cette affaire rappelle celle d'Amanda Todd, une Canadienne de quinze ans qui ne réussissait plus à faire face aux moqueries dont elle était l'objet, après s'être "exposée" sur Internet.

>>> A lire : le suicide d'Amanda bouleverse le Net

On apprend qu'à l'âge de 12 ans, Amanda Todd a été incitée à montrer sa poitrine à un inconnu devant sa webcam. La jeune fille, qui raconte avoir seulement voulu "rencontrer et parler à de nouvelles personnes", se retrouve alors prise au piège. Un an plus tard, cet homme malintentionné crée une page Facebook en son nom.

"Il savait tout de moi : nom, adresse, famille, ami", confie la jeune fille dans la vidéo. L'internaute invite alors les proches et connaissances d'Amanda Todd à s'abonner à la page Facebook montrant en photo de profil les seins de la lycéenne.

Dépression, alcool, drogue

En découvrant ces images, les amis d'Amanda la rejettent. Sa "réputation, si importante à cet âge-là, est ternie. Par la suite, la jeune fille change d'école à plusieurs reprises, mais son harceleur parvient toujours à la retrouver. Dans un énième établissement, Amanda retrouve espoir et s'attache à un garçon. Elle commence alors une histoire avec le jeune homme, sans savoir qu'il a déjà une petite amie. Cette dernière décide alors de se venger. Accompagnée d'une quinzaine d'amies, elle agresse Amanda à la sortie de l'école.

Dépression, alcool, drogue… Amanda vit un cauchemar et n'ose plus sortir de chez elle. Elle multiplie les tentatives de suicide et les séjours à l'hôpital. Dans son récit, elle conclut : "Je n'ai personne. J'ai besoin de quelqu'un. Mon nom est Amanda Todd."

Émoi au Canada

Un mois après la publication de cette vidéo, Amanda se donnait la mort, chez elle. Depuis, l'émotion est vive au Canada. Une nouvelle page Facebook a été créée, cette fois en sa mémoire, et regroupe plus de 30.000 personnes.

Entre-temps, les médias du monde entier, y compris les publications en ligne en Angleterre, aux États-Unis, en Australie et en Asie, ont repris l'histoire tragique.

"A ce stade, nous avons la hausse de 20 à 25 enquêteurs à temps plein qui travaillent sur cela pour essayer de gagner suffisamment d'informations et de preuves suffisantes pour éventuellement porter des accusations contre une personne ou des personnes qui peuvent avoir joué un rôle à cet égard dans certains Ainsi, "a déclaré le Sgt. Peter Thiessen.

Même après sa mort, cependant, les gens continuent de tourmenter l'adolescent. Plus de 15 mémoires en ligne ont été mis en place pour Todd sur Facebook, l'un avec plus de 500.000 "aime." Mais avec des messages proposant de condoléances pour la famille de Todd, anciens camarades de classe et les étrangers ont posté des commentaires haineux et les images offensantes.

Un utilisateur de Facebook a ajouté une photo de Todd qui avait été fait pour ressembler à un zombie tenant une bouteille d'eau de Javel avec le message: ". J'espère qu'ils vendent Clorox en enfer"

D'autres ont dit Todd ne doit pas être attirer l'attention positive ou négative.

«C'est dommage que les gens se suicident, mais je ne vois pas ce qui rend cette fille spéciale .... Elle semble être le genre de personne qui s'est suicidée parce qu'elle était paresseuse », écrit un autre utilisateur.

Au début de Septembre, Todd a posté une vidéo de neuf minutes sur YouTube , et par notes manuscrites, at-elle expliqué ce qui s'est passé après qu'elle ait exposé ses seins sur une webcam à un homme non identifié.

Les images ont fini par être envoyé à la famille et aux amis, et elle décrit comment elle a souffert d'anxiété, la dépression majeure et tournés vers la drogue et l'alcool et a même tenté de se suicider à deux reprises.

La vidéo se termine avec elle note: «Je n'ai plus personne. J'ai besoin de quelqu'un. "

Dans la vidéo on la voit maintenant des cartes racontant son histoire, un autre vers la fin en disant: «Chaque jour, je me demande pourquoi je suis encore ici." Les enfants de son école étaient bien conscients de son désespoir, et pourtant beaucoup d'entre eux taquinée plus loin, elle l'incitant, au suicide.

e Service BC a dit coroners indications préliminaires suggèrent Todd a pris sa propre vie, mercredi dernier.
Le vendredi, la GRC a mis en place un compte de messagerie que les gens puissent soumettre des conseils - amandaTODDinfo@rcmp-grc.gc.ca

Thiessen a déclaré samedi par les enquêteurs avaient reçu plus de 400 conseils de partout dans le monde, et la police est d'encourager le public à fournir des informations encore plus.

Les enquêteurs donnent la priorité à ces conseils et nous essayons de déterminer celles qui doivent être mises sur le premier, dit Thiessen.

Chaque jour, je me demande pourquoi je suis encore ici
Il dit que la police demande aussi aux individus de cesser d'afficher des commentaires inappropriés et blessants et images en ligne qui continuent de victimiser à nouveau les la famille Todd et les autres.

Il dit que la police ne sont même avoir des plaintes de filles jeunes et les adultes à cause de ces images.

«Ils sont touchés par elle et ils sont très émotionnels discussions que nous comportant de ces gens qui nous appellent», at-il dit.

Ressources si vous ou quelqu'un que vous connaissez des pensées suicidaires
Avertissement: le contenu graphique dans les derniers instants de cette vidéo

Barbara Kay: Amanda mort de Todd montre la nécessité d'exposer la cyberintimidation

Octobre est le National Anti-Bullying mois. Comme un rappel tragique de la nécessité de cela, nous apprenons que 15 ans, Amanda Todd, un ancien "courageux" pom-pom girl et élève de 10e année à l'école Coquitlam éducation alternative de base en Colombie-Britannique, s'est suicidée mercredi à la suite d'une cyberintimidation campagne contre elle.

Amanda histoire a commencé en 7 e année, quand elle et ses amis ont été couchait avec un caméscope. Elle a été invitée à un topless "flash" qui a fini par en ligne. Un inconnu a posté sur son profil Facebook et il est allé virale.

L'anxiété a rongé la jeune fille, qui a posté une vidéo sur YouTube à propos de la dépression extrême qui a conduit à sa mort. Dans la vidéo on la voit maintenant des cartes racontant son histoire, un autre vers la fin en disant: «Chaque jour, je me demande pourquoi je suis encore ici." Les enfants de son école étaient bien conscients de son désespoir, et pourtant beaucoup d'entre eux tourmentait plus loin, elle l'incitant, au suicide.

Quelle est la fréquence de cette réaction extrême à la cyberintimidation? Très rare, même si le phénomène est maintenant un certain nombre d'années. Bob Thomson, professeur de culture populaire à l'Université de Syracuse dit: «Pour chaque vidéo qui va virale, des millions et des millions et des millions n'en ont pas." Une enquête menée en 2007 par le National Crime Prevention Council et Harris Interactive a confirmé que la cyberintimidation est répandue: environ 43% des étudiants interrogés ont déclaré qu'ils avaient été la cible de cyberintimidation dans la dernière année. Mais la majorité des personnes interrogées - 61% des garçons et 52% des filles - ont dit qu'ils n'étaient «pas dérangé" par elle.

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Mais ce n'est guère rassurant. Personne ne devrait être faite si désespérée par l'exposition du public qu'ils trouvent la seule réponse est le suicide. Au moins l'intimidation physique peut être signalées aux autorités et la victime peut physiquement échapper à la bourreau. Mais l'intimidation sur Internet ne s'arrête jamais. Ann Frisen, professeur de psychologie à l'Université de Göteborg, étudie l'intimidation de différents types. Elle dit un seul ordinateur fermeture n'est pas psychologiquement utile: «Les victimes d'intimidation sur Internet, ou la cyberintimidation, n'ont aucun refuge. [Ils] peuvent être harcelés en permanence par SMS et sites web .... "

À la fin de Septembre, la Cour suprême du Canada a affirmé son rôle en aidant à éliminer l'intimidation en ouvrant la voie à un adolescent, connu sous le nom AB, maintenant 17 ans, de poursuivre ses démarches juridiques, lancé il ya deux ans, pour forcer un fournisseur d'accès Internet à révéler l' identité des personnes qui ont créé une page Facebook pleine de détails humiliants, soi-disant sur la vie sexuelle AB.

La décision unanime a été perçue par certains comme un coup porté aux droits des médias, mais la juge Rosalie Abella a défendu la décision, en disant: «Des études ont confirmé que permettre les noms des enfants victimes et autres informations d'identification d'apparaître dans les médias peut exacerber les traumatismes, compliquent de récupération, de décourager les divulguer à l'avenir et à inhiber la coopération avec les autorités. "

Il s'agit d'une atteinte raisonnable des droits médiatiques. Les années d'adolescence sont un passage difficile au mieux. Confiance sociale pour de nombreux adolescents, à ce stade de la vie est notoirement fragile. Il semble y avoir aucun doute que la cyberintimidation est l'une des expériences les plus humiliantes qui peuvent s'abattre sur un adolescent vulnérable. Mettre fin à l'anonymat dans ces attaques ira loin de diminuer, sinon éliminer ce côté sombre cruellement des médias sociaux.

"Pourquoi est-ce que personne ne les écoute jamais ou ne se soucie avant qu'il ne soit trop tard?" Un ami de Amanda affichés sur une page Facebook mémorial. "Si seulement notre génération pourrait mieux écouter. J'aurais aimé vous connaître mieux, repose en paix Amanda. "

Ressources si vous ou quelqu'un que vous connaissez des pensées suicidaires:

Localisez un centre de crise suicidaire près de chez vous
Jeunesse, J'écoute : 1-800-668-6868
National Post

https://twitter.com/search?q=%23RIPAmanda&src=typd

L'histoire d'Amanda Todd moi perso elle me touche a fond.. Les reseaux sociaux sont super dangeureux, faites y gaffe les gens

Ce n'est pas Amanda Todd qui s'est tué, c'est la société qui l'as fait a ça place. Prenez conscience de vos actes.

ces histoires sont tragiques !!

j'ai bien l'impression qu'il n'y a plus d'humanité et que tous les moyens sont bons pour avoir de l'argent

le soucis c'est que les jeunes , non pas de guides , et avales tout comme des buvards , il faut les éduquées , le net et une arme , à deux tranchants , ou elle t'aides pour les recherches , ou elle te démoli , se qu'il faut c'est la discrétion , totale !


le net c'est aussi la rue , pire car la rue ont voit la personne , pas sur le net !

C’est une arme dans le sens que le net était pour les militaires, à la base!


et entre les gens qui racontent leurs vies , qui mettes des photos , le net garde tout se sont des robots !


Je serais ces familles, je porterais déjà plaintes sur ses sites, de discutions !


Ont ne forme pas assez les gens, sur se que le net peu faire, et défaire !

Fleur

surtout que certaines personnes utilisent la faiblesse des autres sur le net, les personnes seules et isolées qui racontent leurs douleurs sur les forums sont des proies pour des manipulateurs