LA PETITE MAISON TRANQUILLE
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 ta vie privee n'est pas à vendre!fleur

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MessageSujet: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:42

cinema


Protégez vos données privées !


ettoyez ses données personnelles récoltées par les applications à votre insu
sur les réseaux sociaux. Vous devez sécuriser votre vie privée et celle de vos enfants


http://www.donnees-privees.org/



Notre vie privée est-elle en vente sur internet ?
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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:44

Google, Facebook et les autres vendent nos informations personnelles, notre vie privée." Le fantasme circule depuis l'avènement de géants du web, tel Google, qui cumulent des données personnelles sur les internautes. Il est vrai que la plupart des sites disposent d'informations privées sur leurs utilisateurs. Pour autant, les vendent-elles ?

Du moteur de recherche au réseau social en passant par le commerce en ligne, notre vie privée s'étale sur des dizaines de bases de données. Nombre d'informations sont délivrées délibérément par l'internaute, notamment lors d'une inscription, avec au minimum le nom, l'adresse e-mail et un mot de passe, mais aussi souvent l'âge et le sexe. Les sites aiment également recueillir automatiquement l'adresse IP qui identifie l'internaute, son type d'ordinateur et la version du navigateur web.

En France, la loi Informatique et libertés encadre cette récolte : un site peut "collecter [ces informations] pour des finalités déterminées, explicites et légitimes" mais elles ne peuvent "pas être traitées ultérieurement de manière incompatible avec ces finalités. [Seul] un traitement à des fins statistiques ou à des fins de recherche scientifique ou historique est considéré comme compatible."

Si une société souhaite monétiser sa base de données, elle doit agir en toute transparence, c'est-à-dire informer les personnes", résume Judicaël Phan, juriste au sein de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil).

Le site se doit d'informer l'internaute sur les finalités de la collecte mais aussi sur les différents destinataires de ces informations. Il est possible que ces données soient cédées mais dans ce cas, la personne doit donner son consentement express (accepter les conditions d'utilisation ne suffit pas). Toutefois, ces dispositions ne concernent que les données dites "sensibles", à savoir l'e-mail, le numéro de téléphone, celles susceptibles de faire apparaître les origines raciales ou ethniques, les opinions politiques, philosophiques ou religieuses, l'appartenance syndicale, ou qui sont relatives à la vie sexuelle.

Au-delà de la théorie, qu'en est-il de la pratique ?

Facebook, "la plus terrible machine à espionner"
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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:46

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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:46

Face aux accusations de livrer la vie privée en pâture aux sociétés de marketing, Facebook fait désormais office de principal accusé. Même Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, a dénoncé "la plus terrible machine à espionner jamais inventée".

Le réseau social aux 955 millions d'utilisateur collecte nombre d'informations personnelles dont certaines (le nom, l'adresse e-mail, la date de naissance et le sexe) obligatoires. Des données privées "accessibles aux jeux intégrés, applications et sites web que vous et vos amis utilisez."

Nous leur communiquons vos informations de base : votre identifiant d'utilisateur, les identifiants de vos amis et vos informations publiques [au minimum nom, photos de profil et sexe, NDLR]. Si l'application a besoin d'informations supplémentaires, telles que vos actualités, photos ou mentions 'J'aime', elle doit vous demander une autorisation spécifique", précise les conditions générales.

N'importe quel site lié à Facebook peut accéder aux informations sur ces utilisateurs. Mais accès ne signifie pas vente et récupération. "Facebook ne vend pas vos informations personnelles", promet le site. Il s'agit principalement de permettre aux annonceurs de proposer des publicités ciblées sur le réseau par exemple en fonction du sexe, de l'âge, du lieu de résidence ou des trois à la fois. D'où le fait que certaines publicités mettent en avant les mentions "J'aime" de vos amis avec leur photo de profil.

Mais le site n'est pas à l'abri d'abus ou de failles de sécurité. En 2009, deux applications douteuses ont récupérées des photos de profils pour réaliser des publicités trompeuses, avant d'être bannies. Un an plus tard, "le Wall Street Journal" a révélé que de nombreuses applications, même les plus célèbres comme Farmville, transmettaient en toute indiscrétion les identifiants de leurs utilisateurs ainsi que la liste de leurs amis à des publicitaires spécialisés dans le profilage d'internautes. Des "dizaines de millions d'utilisateurs" auraient été touchés, "y compris ceux qui optent pour les paramètres d'intimité les plus stricts", précise le quotidien économique. Au même moment, une société de sécurité a expliqué au "Nouvel Observateur" comment paramétrer une application pour récupérer toutes les données des utilisateurs via des failles de sécurité.

Twitter, vendeur de gazouillis
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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:47

ACCUEIL > VU SUR LE WEB > NOTRE VIE PRIVÉE EST-ELLE EN VENTE SUR INTERNET ?
Notre vie privée est-elle en vente sur internet ?
Créé le 23-08-2012 à 12h37 - Mis à jour le 29-08-2012 à 11h47Par Boris Manenti
SERIE D'ETE #2 - Les géants de l'internet marchandent notre vie privée pour toujours plus de profits. Second volet de notre enquête sur les mythes et fantasmes du web.

Mots-clés : internet, web, marketing, données personnelles, vie privée, Vente
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Face aux accusations de livrer la vie privée en pâture aux sociétés de marketing, Facebook fait désormais office de principal accusé (PHOTOPQR/L'EST REPUBLICAIN/Alexandre MARCHI)
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"Google, Facebook et les autres vendent nos informations personnelles, notre vie privée." Le fantasme circule depuis l'avènement de géants du web, tel Google, qui cumulent des données personnelles sur les internautes. Il est vrai que la plupart des sites disposent d'informations privées sur leurs utilisateurs. Pour autant, les vendent-elles ?

Du moteur de recherche au réseau social en passant par le commerce en ligne, notre vie privée s'étale sur des dizaines de bases de données. Nombre d'informations sont délivrées délibérément par l'internaute, notamment lors d'une inscription, avec au minimum le nom, l'adresse e-mail et un mot de passe, mais aussi souvent l'âge et le sexe. Les sites aiment également recueillir automatiquement l'adresse IP qui identifie l'internaute, son type d'ordinateur et la version du navigateur web.

En France, la loi Informatique et libertés encadre cette récolte : un site peut "collecter [ces informations] pour des finalités déterminées, explicites et légitimes" mais elles ne peuvent "pas être traitées ultérieurement de manière incompatible avec ces finalités. [Seul] un traitement à des fins statistiques ou à des fins de recherche scientifique ou historique est considéré comme compatible."

Si une société souhaite monétiser sa base de données, elle doit agir en toute transparence, c'est-à-dire informer les personnes", résume Judicaël Phan, juriste au sein de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil).

Le site se doit d'informer l'internaute sur les finalités de la collecte mais aussi sur les différents destinataires de ces informations. Il est possible que ces données soient cédées mais dans ce cas, la personne doit donner son consentement express (accepter les conditions d'utilisation ne suffit pas). Toutefois, ces dispositions ne concernent que les données dites "sensibles", à savoir l'e-mail, le numéro de téléphone, celles susceptibles de faire apparaître les origines raciales ou ethniques, les opinions politiques, philosophiques ou religieuses, l'appartenance syndicale, ou qui sont relatives à la vie sexuelle.

Au-delà de la théorie, qu'en est-il de la pratique ?

Facebook, "la plus terrible machine à espionner"



Face aux accusations de livrer la vie privée en pâture aux sociétés de marketing, Facebook fait désormais office de principal accusé. Même Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, a dénoncé "la plus terrible machine à espionner jamais inventée".

Le réseau social aux 955 millions d'utilisateur collecte nombre d'informations personnelles dont certaines (le nom, l'adresse e-mail, la date de naissance et le sexe) obligatoires. Des données privées "accessibles aux jeux intégrés, applications et sites web que vous et vos amis utilisez."

Nous leur communiquons vos informations de base : votre identifiant d'utilisateur, les identifiants de vos amis et vos informations publiques [au minimum nom, photos de profil et sexe, NDLR]. Si l'application a besoin d'informations supplémentaires, telles que vos actualités, photos ou mentions 'J'aime', elle doit vous demander une autorisation spécifique", précise les conditions générales.

N'importe quel site lié à Facebook peut accéder aux informations sur ces utilisateurs. Mais accès ne signifie pas vente et récupération. "Facebook ne vend pas vos informations personnelles", promet le site. Il s'agit principalement de permettre aux annonceurs de proposer des publicités ciblées sur le réseau par exemple en fonction du sexe, de l'âge, du lieu de résidence ou des trois à la fois. D'où le fait que certaines publicités mettent en avant les mentions "J'aime" de vos amis avec leur photo de profil.

Mais le site n'est pas à l'abri d'abus ou de failles de sécurité. En 2009, deux applications douteuses ont récupérées des photos de profils pour réaliser des publicités trompeuses, avant d'être bannies. Un an plus tard, "le Wall Street Journal" a révélé que de nombreuses applications, même les plus célèbres comme Farmville, transmettaient en toute indiscrétion les identifiants de leurs utilisateurs ainsi que la liste de leurs amis à des publicitaires spécialisés dans le profilage d'internautes. Des "dizaines de millions d'utilisateurs" auraient été touchés, "y compris ceux qui optent pour les paramètres d'intimité les plus stricts", précise le quotidien économique. Au même moment, une société de sécurité a expliqué au "Nouvel Observateur" comment paramétrer une application pour récupérer toutes les données des utilisateurs via des failles de sécurité.

Twitter, vendeur de gazouillis



Un autre réseau social a été éreinté, en mars dernier, par la polémique : Twitter. Celui-ci aurait "vendu" des données sur ses utilisateurs à deux sociétés pour qu'elles réalisent de l'analyse de tendances mais aussi des retours sur des campagnes marketing.

Une mise à jour de ses conditions d'utilisations plus tard, Twitter précise que le site peut "partager et divulguer vos données qui ne sont pas privées, telles que : vos tweets publics, les personnes que vous suivez ou qui vous suivent, ou le nombre d'utilisateurs qui ont cliqués sur un lien particulier".

Le réseau social rappelle que "la plupart des informations que vous nous fournissez sont des informations que vous nous demandez de rendre publiques. Cela inclut non seulement les messages tweetés et les métadonnées fournies avec, mais également les listes des personnes suivies, les tweets marqués comme favoris ou retweetés ainsi que beaucoup d'autres d'information résultant de l'utilisation des services."

L'omnipotent Google

Google se retrouve aussi régulièrement au rang des accusés. Le géant du web collecte, via ses différents services de recherches, d'e-mails ou de vidéos, une montagne d'informations sur les habitudes des internautes. Le plus impressionnant étant "l'historique web" qui compile toutes vos recherches sur Google. Google affirme "ne communiquer des données personnelles à des entreprises, des organisations ou des personnes tierces qu'avec votre consentement." L'Américain précise :

Nous ne vendons pas les informations personnelles de nos utilisateurs."

Conscient de la quantité de données dont il dispose, Google a mis en place le service Dashboard qui condense sur une page toutes les informations vous concernant, avec la possibilité de les supprimer.

Reste que Google ne se prive pas d'utiliser des données privées pour afficher sur ses services de publicités ciblées, comme par exemple à côté des messages reçus dans Gmail.

E-commerce et vie privée

L'enregistrement de l'historique n'est pas le seul fait de Google. La pratique est largement répandue chez les sites marchands. Amazon associe par exemple vos informations personnelles (nom, adresse, etc.) à la liste de vos achats, voire avec "la liste des produits consultés ou recherchés". Là encore, l'objectif est d'optimiser le ciblage publicitaire, le site s'engageant à "ne pas en faire le commerce".

Amazon précise toutefois "partager ces informations avec des tiers [pour], par exemple, "le traitement des commandes, l'expédition des produits, la gestion de nos fichiers clients, des services en marketing ou le service clients. Ces prestataires ont accès aux informations personnelles nécessaires à l'exécution de leurs prestations et ne sont pas autorisés à les utiliser à d'autres fins."

Même topo chez La Redoute qui annonce que "les informations recueillies pourront être communiquées à des tiers liés à La Redoute pour l'exécution de tâches nécessaires à la gestion de votre compte, de vos commandes et paiements".

La CIA à l'affût



En résumé, la vie privée des internautes n'est pas "à vendre" sur internet. Les données personnelles recueillis par les sites ne sont pas cédées à des sociétés tierces, sauf mention contraire et explicite. Toutefois, il convient de prêter attention aux informations que les sites considèrent comme "publiques", puisqu'elles pourront être récupérées en toute légalité. "Vous devez réfléchir sérieusement à ce que vous rendez public", prévient même Twitter.

Au-delà de l'intérêt marketing, ces informations "publiques" intéressent de près les autorités. En novembre dernier, l'agence de presse AP a révélé que la CIA, l'agence centrale de renseignement américaine, a créé une cellule qui s'intéresse aux réseaux sociaux. "La CIA suit jusqu'à 5 millions de tweets par jour", raconte AP.

Même habitude en France où, de l'aveu d'un cyber-gendarme, "tous les suspects font désormais l'objet d'un recherche sur Google, Facebook et autres. De nombreuses informations sont librement accessibles à tous, aux internautes comme aux enquêteurs".



> Retrouvez les autres volets de notre série d'été :

- Internet sait-il tout de nous ?

- Internet est-il un repaire de pédophiles ?
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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:50

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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:55

SERIE D'ETE #1 - Vie privée, données personnelles... Internet nous espionne. Premier volet de notre enquête sur les mythes et fantasmes du web.

http://www.theatlantic.com/technology/archive/2012/02/im-being-followed-how-google-and-104-other-companies-are-tracking-me-on-the-web/253758/?google_editors_picks=true

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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:57

Je suis suivi: Comment Google-et 104 autres sociétés-me de suivi sur le Web

Ce matin, si vous avez ouvert votre navigateur et se rendit à NYTimes.com, une chose incroyable s'est produit dans les millièmes de secondes entre votre clic et quand les nouvelles de la Corée du Nord et James Murdoch est apparu sur votre écran. Les données de cette seule visite a été envoyée à 10 entreprises différentes, y compris Microsoft et Google filiales, une tripotée de trafic de journalisation des sites, et d'autres, plus petites agences de publicité. Presque instantanément, ces entreprises peuvent identifier votre visite, placer des annonces sur mesure pour vos yeux en particulier, et l'ajouter au fichier en ligne sans cesse croissante sur vous.

Il n'y a rien de sinistre nécessairement cet échange souterraine de données: il s'agit, après tout, l'écosystème de la publicité qui prend en charge gratuite du contenu en ligne. Toutes les données permet aux annonceurs d'optimiser leurs annonces, et le reste de l'enregistrement des informations leur permet de mesurer à quel point les choses fonctionnent réellement. Et je ne veux pas m'acharner sur le New York Times. En visitant le Huffington Post ou The Insider Atlantique ou de l'entreprise, le même processus se produit à un degré plus ou moins grand. Chaque mouvement que vous faites sur Internet est une valeur de quelque petite quantité à quelqu'un, et une panoplie d'entreprises veulent s'assurer qu'aucune étape de votre périple Internet va non monétisé.

Même si vous êtes généralement familiers avec l'idée de collecte de données pour la publicité ciblée, le nombre et la variété de ces collecteurs de données va probablement vous étonner. Permettez-moi de vous présenter la liste des entreprises qui suivent les mouvements de mes sur Internet dans une récente période de 36 heures de surf Web standard: Acerno. Adara médias. Adblade. Adbrite. ADC oignon. Adchemy. Adify. AdMeld. Adtech. La connaissance globale. AlmondNet. Aperture. AppNexus. Atlas. Audience Science.

Et ce n'est que le sous. Ma liste complète comprend 105 entreprises, et il ya des dizaines d'autres à celle de l'existence. Vous aussi, vous pouvez également compiler votre propre liste en utilisant l'outil de Mozilla, Collusion , qui enregistre les entreprises qui capturent des données vous concernant, ou, plus précisément, votre auto numérique.

Alors que les grands noms - Google, Microsoft, Facebook, Yahoo, etc - se présentent dans ce catalogue, dont la majeure partie est composée de petites entreprises de publicité et de données qui forment un tissu ombre des entreprises qui veulent aider vous montrer publicité que vous êtes plus enclins à cliquer sur les produits que vous êtes plus susceptibles d'acheter.

Pour être clair, ces entreprises de recueillir des données sans l'attacher à votre nom, ils utilisent ces données pour vous montrer que vous êtes statistiquement annonces plus enclins à cliquer. C'est le jeu, et il ya de l'argent dans celle-ci.

En tant qu'utilisateurs, nous passons à travers nos expériences Internet inconscients des machines souterraines alimentant barattage nos pages web avec leurs cookies et pixels trackers, leur code de suivi et bases de données. Nous magasiner pour les traiteurs de mariage et tout à coup voir des annonces anneaux apparaissent sur des pages Web aléatoires, nous sommes invités. Nous pensons parfois que les annonces qui nous suivent autour de l'Internet sont «chair de poule». Nous nous sentons parfois observé. Est-ce important? Nous ne savons pas vraiment quoi penser.

Les problèmes de l'industrie soulève n'existaient pas lorsque Ronald Reagan était président et étaient seulement à l'état naissant quand les tours jumelles est tombé. Ce sont des phénomènes de notre temps et bien qu'il existe de nombreuses formes antérieures de la publicité, jamais auparavant dans l'histoire de l'existence humaine a été tellement de données recueillies sur tant de gens dans le seul but de leur vendre des annonces.

"Les grands esprits de ma génération réfléchissent à la manière de rendre les gens cliquent sur ​​les annonces", mon vieil ami et employé dès Facebook Jeff Hammerbacher a dit une fois . "C'est nul", at-il ajouté, mais de plus en plus je pense que ces questions -. Comment nous déplacer "librement" en ligne, ou plus exactement, comment nous payer d'une manière ou d'une autre - sont en fait le bord d'attaque d'une discussion beaucoup plus grand sur la relation entre nous-mêmes numériques et physiques. Je ne veux pas théoriquement ou psychologiquement. Je veux dire que les normes établies pour améliorer la façon dont souvent les gens cliquent sur ​​les annonces peuvent finir par savoir qui vous êtes vu par une banque ou un partenaire romantique ou un détaillant qui vend des chaussures.

Déjà, les sites Web que vous visitez avant de se restructurer vous une école de poissons carnivores, et ce n'est que le début. À l'heure actuelle, une énorme partie de ce que vous avez déjà regardé sur Internet est assis dans les bases de données partout dans le monde. La ligne de séparation tout ce qu'il peut dire sur vous, bonne ou mauvaise, est aussi mince que les lettres de votre nom. Si et quand le mur tombe en panne, les chiffres peuvent submerger le nom. Le profil créé inconsciemment peut signifier plus que l'auto examen, j'ai cherché à construire.

La plupart des débats de confidentialité ont été formulées en technique. Nous avons lu sur la façon dont Google contourné les paramètres de confidentialité de Safari, quels qu'ils étaient. Ou on peut lire les détails sur la façon dont Facebook vous suit avec ces boutons friendly Vous aimez. Derrière les détails, cependant, sont un enchevêtrement de questions philosophiques qui sont au cœur de la lutte entre les partisans de confidentialité et de publicité en ligne: Qu'est-ce que l'anonymat? Qu'est-ce que l'identité? La similitude des hommes et des machines? Cet essai est une tentative de réfléchir à ces questions.

Les mauvaises nouvelles sont que les gens n'ont pas pris le contrôle des données qui sont recueillies et échangées à leur sujet. Les bonnes nouvelles sont que - dans un sens tout à fait littéral - il suffit de penser différemment à propos de cette affaire de la publicité peut changer la façon dont il fonctionne. Après tout, si vous prenez ces entreprises à leur parole, ils sont là pour servir les utilisateurs autant que de servir leurs clients.

***
Avant d'aller plus en profondeur, nous allons parler de la réalité de l'industrie de l'affichage publicitaire en ligne. (Cela signifie que, pour l'essentiel, toutes les annonces ne sont pas associés à une recherche sur le Web.) Il ya un nombre étourdissant d'entreprises et des services qui peuvent tous faire de l'argent en aidant les annonceurs à cibler un teensy, peu weensy mieux que le gars à côté. Ce sont des entreprises qui doivent faire leurs preuves assez étroitement des revenus et des bénéfices mesurables, la concurrence est féroce, le prix est élevé, et les stratégies sont en constante évolution. Voici la diversité au niveau des récifs coralliens de la vie de l'entreprise dans l'affichage publicitaire, étant catalogué par Luma partenaires un peu plus d'un an:
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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:58

Ne soyez pas trop pris dans tout cela, cependant. Il ya trois catégories de base: Essentiellement, il ya des gens qui aident les acheteurs (à gauche), les personnes qui aident les vendeurs (à droite), et tout un tas de gens qui aident chaque côté avec des données plus ou un service plus rapide ou mieux mesure. Faisons un zoom sur trois d'entre eux - seulement de l 'As - pour vous donner une idée du genre de tenues dont nous parlons.

Examinons trois sociétés de notre liste des sous. Adnetik est un standard de l'entreprise cible qui utilise enchères en temps réel. Ils peuvent offrir des publicités ciblées en fonction de la façon dont les utilisateurs agissent (comportement), qui ils sont (démographique), où ils vivent (géographique), et qui ils semblent comme en ligne (sosie), ainsi que ce qu'ils appellent "la proximité sociale." Ils donnent également aux annonceurs la possibilité de choisir les types de sites sur lesquels leurs annonces seront diffusées sur la base de "paramètres comme la valeur de la marque éditeur, la pertinence contextuelle à l'annonceur, la sécurité de la marque, le niveau de l'encombrement publicitaire et un contenu de qualité."

Il est intéressant de noter comment cette pratique est différente de la publicité traditionnelle. Le contrat social entre les annonceurs et les publications utilisées à ce que les publications recueillies types de personnes dans ce qu'on appelle une audience, puis annonceurs acheté annonces dans cette publication pour atteindre ce public. Il était un art à elle, et certaines publications ont un cachet et d'autres pas. La publicité en ligne bouleverse tout cela: Maintenant, vous pouvez acheter le public sans la publication. Vous voulez un lecteur de l'Atlantique? Super! Certaines réseau ad peux vous vendre à quelqu'un qui a été à l'Atlantique, mais est en train de lire à propos de lotion pour les mains à KnowYourHandLotions.com. Et ils vont vous vendre cet ensemble de globes oculaires pour un cinquième du prix. Vous pouvez enchérir en temps réel sur un ensemble de ces globes oculaires sur des millions de sites sans jamais parler à un vendeur de publicité. (Bien sûr, un tel compromis a un coût, que nous allons voir bientôt.)

Adnetik propose également un service appelé "reciblage" qu'un autre A-entreprise, AdRoll , se spécialise po Voici comment cela fonctionne. Disons que vous êtes un marchand de chaussures en ligne. Quelqu'un vient à votre magasin, mais ne pas acheter quelque chose. Alors qu'ils sont là, vous laissez tomber un cookie sur eux. Par la suite, vous pouvez cibler vos annonces sur eux, sachant qu'ils sont au moins modérément intéressé. Encore mieux, vous pouvez déposer des cookies sur tous ceux qui viennent à regarder les chaussures et ensuite regarder pour voir qui revient à acheter. Ces gens deviendront vos données d'entraînement, et bientôt vous êtes seulement "reciblage" ces gens avec un profil de données qui indique qu'ils sont susceptibles d'acheter quelque chose de vous par la suite. Il est lisse, surtout si les gens ne remarquent pas que les paires de chaussures qu'ils ont trouvé la volonté de ne pas acheter juste arriver à être à apparaître sur leurs sites préférés jardinage.

Il ya beaucoup de choses puissantes que vous pouvez faire une fois que vous avez des données sur l'utilisateur, de sorte que les gros soucis pour les annonceurs online passer à l'inventaire lui-même achat d'une page dans un magazine est un processus par lequel les annonceurs ont un contrôle significatif. Mais ces types des annonces en ligne pourrait éventuellement fonctionner n'importe où. Après tout, de nombreux réseaux publicitaires besoin de tout l'inventaire qu'ils peuvent obtenir, alors qu'ils s'inscrivent toutes sortes de fournisseurs de contenu. Et c'est là que notre société tierce entre en scène.

AdExpose , maintenant une société comScore, regarde où et comment les annonces sont effectués afin de déterminer si leurs acheteurs ont eu pour leur argent. «Jusqu'à 80% des publicités interactives sont vendus et revendus par des tiers», ils l'ont mis sur leur site web. "Ce daisychaining fait baisser la valeur des annonces en ligne et les annonceurs ne savent pas toujours où leurs annonces ont été diffusées." Pour résoudre ce problème, AdExpose prétend fournir une vérification indépendante du placement d'une annonce.

Les trois entreprises veulent en savoir autant sur moi et ce qui est sur mon écran comme ils le peuvent, même si elles ont des raisons différentes de leur intérêt. Aucun d'entre eux semblent comme des entreprises mal, ils ne sont pas des sociétés singulières. Comme une grande partie de cette industrie, ils semblent croire en ce qu'ils font. Ils offrent une publicité plus pertinente pour les consommateurs et qui fait plus d'argent pour les entreprises. Ils sont simplement des outils pour améliorer la force de préhension de la main invisible.

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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 22:59

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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 23:00

Et pourtant, la révélation que 105 tenues différentes ont été la collecte et vraisemblablement la vente de données me concernant sur Internet me donne à réfléchir. Ce n'est pas seulement Google ou Facebook ou Yahoo. Il ya littéralement des douzaines et des douzaines de ces entreprises et l'utilisateur moyen n'a aucune idée de ce qu'ils font ou comment ils fonctionnent. Nous savons juste que pour une raison quelconque, à un moment ou un autre, une organisation a chuté d'un cookie sur nous et nous avons créé un fichier sur un serveur, accumule constamment des clics et des habitudes qui finira par être exploités et commercialisés.

L'industrie de la publicité en ligne soutient que la technologie évolue si rapidement que la réglementation n'est pas la réponse à ma nausée à propos de toutes les données de partir pour on ne sait où. Le problème, cependant, est que la version de l'industrie de l'auto-régulation n'est pas celle que la plupart des gens s'attendent ou d'accord, comme je l'ai constaté moi-même.

Après l'exécution de collusion pendant quelques jours, je voulais voir s'il y avait une méthode simple pour arrêter la collecte de données. Naïvement, je suis allé à la place d'autoréglementation géré par la Network Advertising Initiative et ont terminé leur "Opt Out" forme. Je l'ai fait pour les dizaines de sociétés cotées en bourse et je dirais que c'est un processus simple et efficace nominalement. Cela dit, je n'étais pas sûr si les données ne cessent d'être collectées sur moi ou non. Le site lui-même ne dit pas que la collecte de données s'arrête, mais ce n'est pas non plus évident que la collecte de données se poursuivra. En fait, la vue d'ensemble des principes ICN se mélange librement parler de la façon dont le code de l'organisation "limite les types de données que les entreprises membres peuvent utiliser" des informations sur le processus d'opt-out.

Après opting out, je suis retourné à la collusion de voir si les entreprises étaient encore me suivre. J'ai trouvé que beaucoup, beaucoup d'entreprises semblent être l'enregistrement des données pour moi. Selon Mozilla, la version actuelle de collusion ne me permet pas de voir précisément ce que les entreprises sont encore suivi, mais les chercheurs de Stanford en utilisant collusion trouvé qu'au moins certaines entreprises continuent à recueillir des données. Tout ce que j'avais «retiré» de recevoir des publicités ciblées a été, non pas la collecte de données. Il n'existe aucun moyen, à travers les propres des sociétés d'autoréglementation appareil, cesser d'être suivis en ligne. Aucun.

Après ces chercheurs de Stanford ont posté leurs résultats à un blog université, ils ont reçu une vive réaction de la NAI a alors chef, Chuck Curran .

En substance, Curran a fait valoir que les utilisateurs n'ont pas le droit de ne * pas * être suivis. «Nous avons depuis longtemps reconnu que les consommateurs devraient disposer d'un choix quant à savoir si des données sur leurs intérêts susceptibles peut être utilisé pour rendre leurs annonces plus pertinentes», écrit-il. "Mais le code NAI reconnaît également que les entreprises ont parfois besoin de continuer à recueillir des données pour des raisons opérationnelles qui sont séparés de ciblage publicitaire basé sur le comportement en ligne des utilisateurs."

Les entreprises «doivent continuer à recueillir des données», mais qui contraste directement avec les utilisateurs souhaitent «ne pas être suivi." Le seul droit que les annonceurs en ligne sont prêts à donner aux utilisateurs est la capacité de ne pas avoir à les annonces diffusées en fonction de leurs antécédents Web. Curran lui-même l'admet: «Il ya une différence essentielle entre la limitation de l'utilisation de données en ligne pour le ciblage et l'interdiction pure et simple de collecte de données."

Mais sur la base de l'enquête rares et des données anecdotiques dont nous disposons, lorsque les utilisateurs se retirer empêcher la collecte de données est * précisément * ce qu'ils cherchent.

Les résultats préliminaires d'une enquête menée l'an dernier, Aleecia McDonald, chercheur à Stanford Center for Internet and Society, a révélé que les utilisateurs s'attendaient à une beaucoup plus de l'ensemble actuel des outils que ces outils offrent. Le plus grand pourcentage de son groupe d'enquête (34 pour cent) qui ont examiné l'ICN opt-out la page pensé que c'était "un site qui vous permet de dire aux entreprises de ne pas collecter des données vous concernant." Pour basée sur un navigateur "Do Not Track" outils, un plein 61 pour cent des répondants s'attendaient à ce que si ils ont cliqué sur un bouton par exemple, pas de données seraient recueillies à leur sujet.

Ne suivent pas les outils sont devenus un important point de discorde. L'idée est que si vous activez l'un dans votre navigateur, lorsque vous arrivez à le New York Times, vous envoyez un héraut devant toi qui dit: «Ne pas collecter des données sur moi." Les membres de l'ICN ont convenu, en principe, se conformer aux dispositions de DNT, mais maintenant, le débat s'est déplacé sur les détails.

Il est fascinant de mêlée sur ce "Do Not Track" outils devraient faire et ce que les ordres sites devront respecter des utilisateurs. L'Alliance Digital Advertising (dont l'ICN fait partie), la Federal Trade Commission, le W3C, l'Internet Advertising Bureau (également partie de la DAA), et des chercheurs de confidentialité dans les établissements universitaires sont tous impliqués. En Novembre, le DAA mis sur un nouvel ensemble de principes qui contiennent quelques bonnes idées comme l'interdiction de la «collecte, l'utilisation ou le transfert de la navigation sur Internet des données sur des sites Web pour la détermination de l'admissibilité d'un consommateur pour l'emploi, la cote de crédit de traitement des soins de santé et l'assurance. "

Cette semaine, la Maison Blanche a semblé se ranger du côté défenseurs de la confidentialité qui veulent limiter la collecte, utilise pas juste. Son projet de loi Confidentialité des droits des consommateurs pousse les entreprises à permettre aux utilisateurs de "exercer un contrôle sur ce que les entreprises personnelles données recueillir d'eux et comment ils l'utilisent." Le DAA annoncé sa participation dans le processus de la Maison Blanche, mais encore il a noté que c'est le début d'un long voyage.

Il ya eu une nette différence philosophique et réel entre les annonceurs et les régulateurs représentant internautes. D'une part, comme Stanford vie privée chercheur Jonathan Mayer a dit: «De nombreuses parties prenantes à la vie privée en ligne, y compris les États-Unis et les organismes de réglementation de l'UE, ont souligné à maintes reprises que le contrôle de la consommation effective, il faut restrictions sur la collecte de l'information, et pas seulement des interdictions sur les utilisations spécifiques d'information . " Mais les annonceurs veulent garder la collecte de données autant qu'ils peuvent dans la mesure où ils promettent de ne pas l'utiliser pour cibler la publicité. C'est pourquoi l'ICN opt-out programme fonctionne comme il le fait.

Il ne faut pas s'attarder trop longtemps sur la mise en œuvre technique ici: il peut y avoir certains thèmes autour desquels des compromis peuvent être trouvés. Certains définition de "Do Not Track" que l'industrie costumes et les gens de confidentialité peut être élaborée. Diverses questions liées aux différences entre les premiers biscuits et des tiers peuvent être résolus. Mais la bataille pour la collecte des données et le ciblage publicitaire va beaucoup plus loin que les tactiques, les problèmes techniques qui dominent la discussion .

Supposons que la bonne foi de la part de sociétés de publicité et d'affronter le front cette question: Si les utilisateurs sont en mesure d'arrêter la collecte des données, même si les entreprises ne font rien "mauvais" avec elle? Si cela devait être un droit que la Maison Blanche soutient, et plus important encore, pourquoi?

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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 23:01

Capacité des entreprises à suivre les personnes en ligne a largement dépassé les normes culturelles et les attentes de la vie privée. Ce n'est pas parce que les entreprises en ligne sont pires que leurs homologues hors ligne, mais plutôt parce que ce qu'ils peuvent faire, c'est tellement, tellement différent. Nous n'avons pas un langage pour parler de la façon dont ces entreprises fonctionnent ou comment notre société doit faire face.

La parole que vous entendez encore et encore et encore, c'est que les annonces ciblées peuvent être "chair de poule". Il a même surgit dans l' enseignement littérature , en dépit de sa signification vague dans ce contexte. Mon intuition est que nous utilisons le mot «chair de poule», précisément parce qu'il est un mot indéterminé. Elle implique que sensation de picotement-arrière-de-le-cou, mais pas forcément plus que cela. Le sentiment effrayant est un signe de prêter attention à un phénomène potentiellement néfaste. Mais on ne peut pas trier nos sentiments dans les catégories - dangereux ou inoffensifs - parce que nous ne savons pas vraiment ce qui va se passer avec toutes les données qui sont collectées.

Non seulement il ya plus de 100 entreprises qui recueillent des données sur nous, ce qui rend pratiquement impossible de trier le bon du mauvais, mais il ya des questions essentielles non résolues sur la façon dont nous nous adressons à nous-mêmes et les machines numériques à travers laquelle ils sont exprimés.

Au cœur du problème, c'est que nous avons de plus en plus vivre deux vies: l'une physique dans lequel votre nom, votre numéro de sécurité sociale, numéro de passeport et permis de conduire sont vos marqueurs identitaires principaux, et un numérique, dans lequel vous avez des dizaines de marqueurs identitaires , qui sont connus de vous et moi, comme les cookies. Ces marqueurs permettent aux collecteurs de données pour garder un œil sur vous sans votre nom. Ces chiffres cookies, qui sont connus seulement aux entités qui leur sont confiées pour vous, sont des marqueurs persistantes de qui vous êtes, mais elles restent pas attaché à votre identité physique par votre nom. Il ya un mur (mince) entre le moi qui achète une assurance santé et l'auto qui recherche des informations en ligne liées à la santé.

Pour la publicité d'appel d'offres en temps réel, dans lequel le public sont servis annonces qui ont été achetés millisecondes * après * Les utilisateurs arrivent à une page Web, d'annonces "cookies du match," services de sorte que les deux parties savent qui est un utilisateur. Bien que les informations ne peuvent être conservées par les deux sociétés, c'est à dire qu'il n'est pas ajouté au fichier de persistance d'un utilisateur, cela signifie que les murs entre les mêmes données en ligne se relâchent rapidement. Tout le monde peut savoir qui vous êtes, même si elles vous appelez d'un autre numéro.

Par ailleurs, de nombreuses entreprises sont juste là pour vendre la collecte de données à d'autres sociétés. N'importe qui peut combiner plusieurs bases de données ensemble dans un portrait étoffé entièrement numérique. Comme le Wall Street Journal enquête mettez , les données des sociétés sont «transformer l'Internet en un lieu où les gens sont de plus anonyme que le nom." Joe Turow, qui a récemment publié un livre sur la vie privée en ligne, a eu des paroles encore plus fortes.

Si une entreprise peut suivre votre comportement dans l'environnement numérique - un environnement qui inclut potentiellement votre téléphone mobile et télévision - sa prétention que vous êtes "anonyme" est dénuée de sens. Cela est particulièrement vrai lorsque les entreprises intermittence ajouter off-line des informations telles que les habitudes d'achat et la valeur de votre maison pour leurs données en ligne et puis tout simplement dépouiller le nom et l'adresse de la rendre «anonyme». Peu importe si votre nom est John Smith, Yesh Mispar ou 3211466. La persistance des informations qui vous concernent inciter les entreprises à agir en fonction de ce qu'ils savent, de partager et se soucient de vous, si vous savez qu'il se passe ou non.

Qui militent contre cet effondrement de la vie privée est une protection offerte par la nature même du système de publicité en ligne. Nul ne pourrait jamais réellement regarder par-dessus les pistes internautes du monde entier. Il serait trop cher et même si vous aviez tous les ouvriers de l'homme dans le monde, ils ne pouvaient pas faire le calcul assez rapide pour constamment valeur internautes recalculer »pour les annonceurs. Ainsi, les machines sont ceux qui le font tout le travail.

Lorsque de nouvelles technologies se heurtent à nos attentes de la vie privée, je pense qu'il est utile de faire une analogie avec le monde réel. Mais nous n'avons tout simplement pas une compréhension adéquate de l'anonymat dans un monde où les machines peuvent analyser l'ensemble de notre comportement sans surveillance humaine. De toute évidence, avec la machine, vous avez plus d'intimité que si une personne était en regardant vos clickstreams, ramasser les connaissances garantie. Un être humain peut facilement appliquer des compétences de raisonnement analytique pour comprendre qui tu étais. Et tout être humain peut utiliser ces données à des fins non autorisées. Grâce à notre monde de la publicité axée sur les données, nous comptons sur les machines actuelles des mutisme et son incapacité à «en savent trop."

C'est une épée à double tranchant. Les niveaux actuels de l'intelligence artificielle nous isoler de catastrophe vie privée, nous nous laissons données soient recueillies sur nous. Mais nous savons que ces données ne sont pas près de disparaître et pourtant l'intelligence artificielle se développe rapidement. Les résultats de ce processus sont inéluctables. Livrés à eux-mêmes, les entreprises de suivi ad finira par être en mesure de se connecter vous-mêmes de données différentes. Et puis ils vont briser le mur nom, s'ils sont autorisés à.
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MessageSujet: Re: ta vie privee n'est pas à vendre!fleur   ta vie privee n'est pas à vendre!fleur I_icon_minitimeMer 29 Aoû 2012 - 23:05

http://www.theatlantic.com/technology/archive/2012/02/im-being-followed-how-google-and-104-other-companies-are-tracking-me-on-the-web/253758/?google_editors_picks=true
Comment ne pas se perdre dans le dédale des conditions d'utilisation et de vie privée mises en place par les géants d'Internet ? "Le Nouvel Observateur" vous aide à vous y retrouver.

"On ne fait pas vraiment attention aux informations privées disponibles sur internet mais, une fois synthétisées, elles prennent soudain un relief inquiétant." En novembre 2008, le magazine "Le Tigre" a réussi à dresser en détails le portrait d'un certain Marc L., sans jamais le rencontrer, via des informations très personnelles recueillies sur le web. Facebook, Google et les autres géants du net disposent d'une mine d'informations sur leurs utilisateurs. Données parfois intimes qui permettent de dresser un profil intéressant pour les publicitaires. Pas étonnant donc que les patrons de ces groupes essayent de mettre fin à l'anonymat.

76 jours. C'est la durée qu'il vous faudrait pour lire toutes les conditions d'utilisation et de vie privée des sites que vous utilisez au cours d'une année, selon deux chercheurs à l'université de Carnegie Melon aux Etats-Unis. Ils précisent : si tous les Américains les lisaient toutes, cela coûterait 781 milliards de dollars à l'économie du pays sur un an. Des utilisateurs ont donc décidé de se réunir pour lire toutes les conditions d'utilisation de différents sites utilisés par les internautes du monde entier afin d'expliquer quels sont les abus et classer ceux qui vont trop loin. Le site "Terms of service, didn't read" (conditions d'utilisation, non lues) permet à ceux qui sont perdus de s'y retrouver.

Une infographie publiée sur le site Mashable a aussi recensé ce que les réseaux sociaux savent de nous. Pour autant, internet sait-il tout de ses utilisateurs ?

Facebook, le réseau trop curieux

En matière de vie privée, un site est régulièrement pointé du doigt : Facebook. Des Américains ont par exemple réclamé 15 millions de dollars pour atteinte à la vie privée puisque le réseau social aux 955 millions d'utilisateurs continuait de recueillir des informations sur leur navigation alors même qu'ils étaient déconnectés.

Lorsqu'un jeune étudiant autrichien de 24 ans, Max Schrems, a exigé les données que le groupe possède à propos de lui, il a reçu un document de 1.222 pages. Tout y est archivé : les statuts et messages effacés, les tags sur les photos, les pokes, les demandes d'amis refusées... Mais aussi les ordinateurs qu'il avait utilisé pour se connecter, et les lieux où il avait signalé qu'il se trouvait avec l'heure, la longitude, la latitude et le téléphone utilisé pour se localiser. Une vie entière sur le réseau.

Max Schrems a par la suite publié sur son site, un kit permettant aux internautes de porter plainte auprès de la Commission européenne contre le site de Mark Zuckerberg. Selon "Terms of service, didn't read", Facebook se réserve le droit de conserver toute information ou photo partagée (le délai a été réduit à 30 jours le 17 août dernier), même lorsque l'internaute a fermé son profil. Difficile de ne pas laisser de traces après avoir livré sa vie privée au site, en particulier si d'autres l'ont fait. Confession religieuse, opinion politique, nombre d'enfants... Facebook s'intéresse à tout.

Pourtant, seuls le nom, l'adresse e-mail, la date de naissance et le sexe sont obligatoires, selon les conditions d'utilisation. Et gare au mensonge : qui donne de fausses informations est susceptible de voir son profil suspendu ou supprimé. Pour tout le reste, Facebook rappelle qu'il s'agit d'"informations que vous choisissez de partager". Statut, un lien publié, une photo... Une foule d'informations reçues et conservées par le réseau social.

Rien n'empêche de créer un profil incomplet, même si Facebook œuvre pour la fin de l'anonymat sur son réseau. Selon le quotidien britannique "Guardian", 8,7% des profils sur le site n'appartiennent pas à de vraies personnes : profils de chien, double profil, spam, les raisons sont nombreuses pour créer ce type de page. 14 millions de comptes ne seraient ainsi lancés que pour spammer les utilisateurs de Facebook.

Google, le collecteur

Outre Facebook, les commentateurs et les polémiques aiment à critiquer le géant du web Google. A regarder de plus près les conditions d'utilisation, difficile de s'y retrouver. Pas moins de 70 versions différentes de documents relatifs à la vie privée existaient. Le groupe de Moutain View a donc décider de les harmoniser en mars dernier. Cette dernière version des règles relatives à la vie privée et à la confidentialité donne le détail des informations collectées sur l'internaute.

Dès la création d'un compte pour l'un des services de la galaxie Google (Gmail, Blogger, YouTube, Android, etc.), le groupe recueille nom, adresse e-mail, numéro de téléphone, adresse postale, voire numéro de carte de paiement. "Nous pouvons collecter des données relatives aux services que vous utilisez et l'usage que vous en faites, par exemple lorsque vous visitez un site web qui utilise nos services publicitaires ou lorsque vous visionnez nos annonces et nos contenus et interagissez avec ces éléments", indique encore Google. Le géant récupère ainsi des informations relatives à l'appareil utilisé (ordinateur, mobile ou tablette) pour se connecter : "modèle, version du système d'exploitation, identifiants uniques de l'appareil, données relatives au réseau mobile y compris [le] numéro de téléphone".

Google va plus loin puisque, pour chaque utilisateur, il crée "des journaux" qui inclut toutes les données précédentes, mais aussi le détail des recherches web, le détail des différentes géolocalisation, et des informations "relatives aux communications téléphoniques" à savoir "numéro de téléphone de l'appelant, heure et date des appels, durée, données des SMS..."

Et il va parfois plus loin. En début d'année, il a été condamné à une amende de 22,5 millions de dollars pour atteinte à la vie privée après avoir espionné les habitudes de navigation des utilisateurs du navigateur Safari d'Apple. Et la multiplication des services dont dispose Google (YouTube, Maps, Google+...) permet au groupe de recueillir toujours plus d'informations afin de proposer de la publicité toujours plus ciblée.

Pour se faire une idée de la masse d'informations dont dispose Google sur vous (et gérer l'ensemble en quelques clics), le géant propose le service baptisé Dashboard.

Sur Twitter, gare aux partenaires

Comme les autres sites, Twitter enregistre des données sur ses 140 millions d'utilisateurs. Données principalement livrées lors de l'inscription (nom, adresse e-mail), mais aussi des données de connexion (navigateur utilisé, adresse IP, géolocalisation, éventuellement téléphone utilisé).

Toutes ces informations plus ou moins personnelles (Twitter autorise les pseudonymes) sont également partagées avec les partenaires que l'internaute choisit d'accepter. Ce sont ces partenaires qui parfois ont des conditions d'utilisation ambiguës vis-à-vis de la vie privée. Par exemple, le site Twitpic qui permet de publier des photos sur Twitter, considère que pour chaque image publiée, l'internaute cède entièrement ses droits (copyright). Même si la photo est effacée, elle ne l'est pas définitivement du site qui conserve tout. De quoi voir Twitpic épinglé par "Terms of service, didn't read".

Twitter peut changer ses conditions d'utilisation très facilement, en envoyant un e-mail ou un tweet sur son compte officiel. Le site l'avait fait en 2009, ne prévenant que quelques heures avant de changements majeurs ses utilisateurs.

Par ailleurs, même si un compte est effacé, le site de micro-blogging conserve les données personnelles pendant 30 jours supplémentaires.

Le Bon Coin, Amazon, La Redoute : e-commerce et vie privée

Les réseaux sociaux ne sont pas les seuls à collecter nombre de données personnelles. Les sites de e-commerce comme Le Bon Coin, Amazon ou La Redoute disposent également d'une montagne d'informations privées. Le Bon Coin, qui totalise plus de 3,3 milliards de pages vues par mois, a pour habitude de conserver toutes les recherches effectuées par ses utilisateurs. Utilisateurs dont il aime savoir les noms, prénoms, adresses e-mail et numéros de téléphone. L'occasion pour le site d'envoyer des propositions commerciales ou promotionnelles ou des enquêtes de satisfaction.

De son côté, Amazon va plus loin en réclamant en plus l'adresse postale et les informations bancaires. De plus, le site conserve l'historique de tous les produits achetés, l'ensemble des commentaires publiés et tous les messages adressés.

Enfin, La Redoute invite ses utilisateurs à créer un compte et réclame nom, prénom, adresse postale, adresse e-mail, numéro de téléphone, date de naissance et nombre d'enfants. Par la suite, le site peut "vous demander des informations par le biais de questionnaires [...] Informations destinées à mieux vous connaître et, par conséquent, facultatives." Facultatives mais prisées par La Redoute qui peut s'en servir pour "adresser des offres commerciales par e-mail, SMS, téléphone" si accord. Ces données personnelles peuvent également être, à nouveau si accord de l'internaute, "communiquées aux partenaires commerciaux [ou] être transmises à d'autres entreprises du groupe Redcats et PPR".

Être invisible, c'est possible

Les sites qui recueillent des données personnelles ont souvent dans l'idée de monétiser ces informations. "The Atlantic" a par exemple montré que chaque fois que vous vous rendez sur un site, des données sont envoyées à des compagnies différentes, dont des filiales de Microsoft et Google, qui repèrent votre visite et adaptent en fonction leurs publicités.

Si la collecte est devenue règle du web gratuit, il est encore possible d'être invisible sur internet. Des journalistes ont ainsi passé des heures à essayer de retrouver la trace numérique de James Holmes, l'auteur de la tuerie d'Aurora dans le Colorado (Etats-Unis), sans succès. La faute peut-être à son nom, très commun, noyé dans l'incroyable masse d'informations disponibles su les réseaux.



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