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 vrai ou faux les indiens ?

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MessageSujet: vrai ou faux les indiens ?   vrai ou faux les indiens ? I_icon_minitimeMar 5 Avr 2011 - 21:14

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vrai ou faux les indiens d'Amerique vivaient dans des toiles de TEntes ??
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MessageSujet: Re: vrai ou faux les indiens ?   vrai ou faux les indiens ? I_icon_minitimeMar 5 Avr 2011 - 21:17

vrai ou faux les indiens ? 895986

faux


il vivaient de dans des tentes mais les Iroquois habitaient de longue maisons en bois et les Ansazis des demeures en terre séchée !
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MessageSujet: Re: vrai ou faux les indiens ?   vrai ou faux les indiens ? I_icon_minitimeMar 5 Avr 2011 - 22:20

:roll: :idea:
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MessageSujet: Re: vrai ou faux les indiens ?   vrai ou faux les indiens ? I_icon_minitimeDim 24 Nov 2013 - 20:51

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Les Indiens Anasazis

Les Indiens Anasazis



vrai ou faux les indiens ? Amasaz10
 

Kokopelli, dieu adoré par les Anasazis
  
Une civilisation s’est développée pendant des siècles avant de disparaître dans le parc national de Mesa Verde, dans le Colorado aux Etats-Unis. On ignore comment ce peuple s’appelait lui-même faute de textes anciens, mais les Navajos l’appellent Anasazi (« anciens ennemis » ou plus largement « anciens »).
De nombreux vestiges de ce peuple on été retrouvés dans la région, en particulier le site de Cliff Palace, cité creusée entièrement dans une falaise au moment de leur apogée.
Cependant, les Anasazis restent très méconnus, on suppose que ce peuple a des origines remontant à la préhistoire, et de nombreux indices laissent à penser que leurs   
connaissances en astronomie étaient assez évoluées.  

  
Découverte 


  
Le 18 décembre 1888, trois ranchers du Colorado sont à la recherche de leur bétail. A l’approche du canyon, et gênés par la neige, ils mettent pied à terre. L’un d’eux, Richard Wetherhill, voit quelque chose en contrebas, abrité dans une immense cavité : des constructions en ruines. Intrigués, les trois hommes décident de descendre voir. Ils découvrent un assemblage de plusieurs habitations, dont certaines à plusieurs niveaux, des plates-formes, une véritable petite ville nichée au creux du roc, à l’abri de la vue de ceux se trouvant sur le plateau. Wetherhill parle alors de « palais de la falaise », c’est Cliff Palace.  
Après cette découverte, les véritables fouilles débutèrent avec l’explorateur suédois Gustaf Nordenskiöld, qui entreprit une étude archéologique très précise du site. Le  climat particulièrement aride permit de récupérer de nombreux objets de la vie quotidienne ainsi que des ossements des habitants de la ville, ce qui donna les premières indications quant au mode vie des Anasazis.  
L’existence du plateau était connue depuis 1859, date à laquelle le professeur John Strong Newberry entreprit une expédition pour le compte de l’armée américaine. Il avait fait état d’un vaste plateau de 2 600 mètres d’altitude. En 1874, un photographe du Geological and Geographical Survey of the Territories, William Henry Jackson découvrit un abri troglodytique dans la falaise. La région avait alors suscité la curiosité sans que les recherches soient véritablement poussées.  
Après le classement de Mesa Verde (la « Table Verte ») au statut de parc national en 1906, les fouilles s’intensifièrent dans la région. De nombreux vestiges furent mis au jour, et le mystérieux peuple à leur origine fut baptisé Anasazi.
On estima la construction de Cliff Palace aux alentours du XIIème siècle, et que la ville abrita jusqu’à 250 personnes. Ce sont en tout près de 4000 sites qui furent identifiés à Mesa Verde, dont 600 habitations troglodytiques.  
Histoire et culture 


  
L’histoire des Anasazi a eu pour cadres successifs les plateaux du sud de l’Utah et du Colorado, ainsi que ceux de l’Arizona et du Nouveau-Mexique. Le peuplement de Mesa Verde dans les premiers siècles de notre ère reste encore mystérieux. Ce peuple ne connaissait ni l’écriture, ni la roue, ni la monnaie, et ne maîtrisait pas les techniques de métallurgie, ce qui laisse supposer une origine préhistorique.  
On peut retrouver les premières traces de cette civilisation en remontant 20 000 ans en arrière, les premiers Paléoindiens se sont peu à peu sédentarisés jusqu’aux environs du IVème siècle de notre ère, donnant naissance au peuple Anasazi. Jusqu’au VIIème siècle, l’agriculture va se développer autour du maïs et des courges, tout en restant associée à une forte tradition de chasse et de cueillette. Les Anasazis se spécialisent dans le travail de l’os, mais également la céramique et surtout la vannerie (voir ci-contre), qui leur valurent le nom de Basket Makers (« fabricants de paniers »).  


A partir des années 700, les premiers villages apparurent, constitués d’habitations rectangulaires en pierre, remplaçant efficacement les « jacal », maisons primitives creusées à même le sol. On parle de phases Pueblo I, II et III, la dernière correspondant à la construction de complexes architecturaux. Des bâtiments dédiés au culte font également leur apparition. On parle de « kivas », vastes structures souterraines dédiées aux cérémonies.  
Concernant les croyances Anasazis, on sait peu de choses. On ignore si un clergé structuré régissait la vie des habitants, mais on pense que certaines personnalités se livraient à des rituels visant à provoquer des visions (des graines de datura, une plante toxique pouvant provoquer des hallucinations, ont été retrouvées sur les différents lieux de culte). Les Anasazis ne maîtrisant pas l’écriture, les principales traces qui nous sont parvenues sont des pétroglyphes, laissés un peu partout sur les falaises en grès, et qui représentent des scènes de la vie quotidienne (chasse, agriculture, traditions), mais également des indications sommaires sur l’emplacement de villages, ou de sources. Certains présentent des spirales (soleil, temps), ou des représentations directes des dieux et esprits qu’ils vénéraient. On connait principalement le dieu Kokopelli (symbole de fertilité, de joie, de longue vie), représenté par un joueur de flûte bossu, ainsi que les kachinas, esprits invisibles censés protéger la population. On peut rapprocher leur religion à l’animisme. Des traces de cannibalisme rituel furent également retrouvées.  
Peu à peu, les Anasazis se mirent à habiter des troglodytes, sans doute pour se protéger, en bénéficiant d’un accès escarpé rendant les attaques difficiles.  
À partir de 1300, le peuple Anasazi commença à abandonner les lieux. On ignore la raison exacte mais on suppose que a sécheresse  survenue à la fin du XIIIème siècle poussa les populations à se disperser.  
 Le mystère Anasazi 

vrai ou faux les indiens ? Amamaz10
  
La plupart des interrogations résident dans le fait que ce peuple, si primitif soit-il sur de nombreux, disposait de solides connaissances en astronomie. Nombre de pétroglyphes retrouvés tendent à démontrer ce savoir.  
Conscience du temps 
A Chaco Canyon au Nouveau-Mexique, on a découvert trois blocs de grès imposants finement rapprochés pour ne laisser passer que deux minces rayons de soleil. A travers ces fentes la lumière vient frapper le mur sur lequel sont gravées deux spirales. Cet astucieux système indique très précisément les solstices d’été et d’hiver, mais également les équinoxes en mars et en septembre. Ce système, appelé une « dague solaire » peut être considéré comme un calendrier.  
Témoins privilégiés d’un phénomène astronomique 
En 1054, une supernova explosa et fut visible en plusieurs endroits du monde. Elle fut par exemple relevée par les astronomes chinois, mais aussi arabes, par sa facilité à être observée à l'œil nu. Le rémanent de l’étoile défunte forme la nébuleuse du crabe, dans la constellation du Taureau. 
La supernova de 1054 ?vrai ou faux les indiens ? Amamas10
  
En effet, on peut y apercevoir un croissant inversé, une main, un dessin en forme d’étoiles hérissée de branches, ainsi qu’un point entouré de deux cercles (flèche). En 1979, la NASA a reconstitué la configuration de la voûte céleste la nuit supposée de l’explosion de l’étoile, que l’on situe aux alentours du 5 juillet. La Lune y apparaît croissant inversé, à quelques degrés à peine de la nébuleuse. L’objet pointé par la flèche sur le dessin représente le Soleil, car le phénomène a pu être observé en plein jour à cette période. Les Anasazis ont donc retransmis ce qu’ils avaient vu.  
Un réseau routier déroutant 
Autre paradoxe de cette civilisation : ses routes. Les Anasazis avaient mis en place un immense réseau de chaussées reliant Chaco Canyon aux autres communautés. On peut penser à un lieu de pèlerinage qui expliquerait cette convergence. C’est en tout plus de 800 kilomètres de chaussées qui traversent le désert de façon totalement rectiligne. Les Anasazis n’hésitaient pas à surpasser l’obstacle, perçant la falaise ou construisant des rampes. Le plus surprenant est que certaines de ces routes n’aboutissent nul part, parfois sur un talus, ou se perdent en pleine nature. Pourquoi se donner alors autant de mal pour les concevoir, quand on sait les moyens techniques dont ils disposaient à l’époque, rappelons qu’ils ne connaissaient pas la roue… Une explication ésotérique voudrait que ces sentiers ait eu pour vocation de communiquer avec les esprits, dans l’espoir d’ouvrir une voie dans l’au-delà.  
   
La civilisation Anasazi demeure un mystère dans son ensemble, de son apparition à sa disparition, et le peu d’indices dont nous disposons ne suffit pas actuellement de lever le voile sur un peuple dont nous ignorons jusqu’au nom véritable, avec une culture certainement plus riche que nous le pensons.  
 

 
vrai ou faux les indiens ? Anasaz10
 
                                                                                             $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ 

 
                                                                                                                 afrique 
le royaume d’Aksoum    vrai ou faux les indiens ? Aksoum-300x200-423574d



L’Ethiopie, sans doute la région la plus anciennement habitée de manière continue par l’homme[1], est également un territoire qui présente une très longue histoire étatique. Nous retiendrons ici en ce qui la concerne la datation de Richard Pankhurst[2] : Préhistoire (période avant -3000 av J.-C.) ; Antiquité (3000 av. J.-C. à 1270) ; Moyen-Age (1270 – début du XVI°)[3]. Les populations éthiopiennes « préhistoriques » s’inscrivent assez rapidement dans les grandes dynamiques d’innovation de l’époque (sédentarisation, agriculture, élevage, commerce de long court, spiritualité et monuments funéraires). Au début de l’Antiquité, les populations éthiopiennes s’organisent autour de trois grandes communautés : Berbarata dans la région nordique, Tekrau (ancêtre communauté Tigré) au centre et Arem au sud (ancêtre communauté Amhara). Ces communautés sont en relations commerciales avec les populations égyptiennes dès le début de l’Ancien Empire, et sans doute avant même sa formation. Les murs du portique funéraire de la reine Hatchepsout (Ancien Empire Egyptien, règne de -1479 à -1457) donnent une représentation des biens importés du Pays de Pount (nom donné par les Egyptiens à l’Ethiopie) : encens, myrrhe, cannelle, or, ivoire, ébène, plumes d’autruches, peaux de panthère et bois précieux. 
Un premier processus réussi de centralisation du pouvoir donne naissance au royaume de D’mt (prononcer Damaat) vers 800 av J.-C. Les informations sur ce royaume sont très parcellaires et proviennent essentiellement de sources du royaume sabéen du Yémen, qui entretenait des relations étroites avec D’mt. Il semble que ce royaume ait développé de nouveaux procédés d’irrigation, faisait usage de la charrue et exploitait le fer pour des outils et des armes. L’unité du royaume aurait été brisée trois cents ans après sa formation, donnant naissance à des plus petites entités politiques, desquelles émergera à partir du 1er siècle après J.-C. le royaume d’Aksoum qui réunifiera la région, avant d’en étendre considérablement les frontières. 
A son apogée au 1er siècle après J.-C ., le territoire du Royaume d’Aksoum s’étend sur 1 250 000 km², incluant ce qui serait aujourd’hui le nord de l’Ethiopie, Djibouti, le Somaliland, l’Erythrée, une grande partie du Soudan, le sud de l’Egypte, les côtes sur la Mer Rouge du Yémen et du sud de l’Arabie Saoudite. La capitale, Aksoum, est située sur les hauts plateaux du nord-est de l’Ethiopie. Ce royaume a construit sa puissance sur sa maîtrise avancée de sa production agricole (système sophistiqué d’irrigation et de terrassement de pierres à flanc de coteau pour la rétention d’eau, adapté aux particularités géographiques du pays), sur la production/extraction et le commerce de produits primaires précieux (ivoire, or, émeraudes, soie, épices) qui s’appuyait sur le contrôle des grandes routes maritimes de la Mer Rouge et de l’Océan indien à partir du port principal d’Adulis. 
La civilisation Aksoum a développé et formalisé une langue de communication, le Guèze (Ge’ez), doté d’un alphabet dès le III° siècle pour sûr, et qui s’est imposée comme la langue des commerçants et des savants pour cette vaste région du monde. Le Royaume d’Aksoum battait également sa propre monnaie, devenue monnaie d’échange bien au-delà de ses frontières, des pièces aksoumites ayant été retrouvées jusque dans le sud-ouest de l’Inde. Son rayonnement et sa puissance étaient particulièrement importants dans les premiers siècles de notre ère, le prophète mésopotamien Mani (216-277) la citant parmi les quatre grandes puissances du monde à son époque, aux côtés de l’Empire romain, de la Perse et de la Chine. Il s’agissait également d’un Etat somptuaire, qui a laissé à la postérité de nombreux monuments comme les obélisques géants, des constructions monumentales taillées dans la pierre, en plus des vestiges de ses importants travaux publics de terrassement. Preuve du dynamisme économique de ce royaume et de la centralisation du pouvoir par une administration entreprenante dont le Negus était la clé de voute. 
vrai ou faux les indiens ? Lalibela-300x225Le royaume d’Aksoum va muer au rythme des grandes dynamiques globales de l’époque, comme le développement du monothéisme. Le commerçant syrien Frumence aurait introduit le christianisme au sein du royaume et convertit le Negus Ezana dans les années 340. Le christianisme devient religion officielle, faisant du royaume d’Aksoum historiquement le deuxième Etat chrétien au monde après l’empire romain. Le règne d’Ezana, qui se poursuivra jusqu’en 390, coïncide avec les dernières heures de gloire du royaume d’Aksoum. 
Le déclin commence véritablement au VII° siècle avec l’expansion de l’Islam qui prive le royaume de son contrôle du Yémen et remet en cause son hégémonie sur les routes commerciales maritimes. Des problèmes environnementaux auraient également contribués à ce déclin, la surexploitation agricole conduisant à un appauvrissement des sols qui, dans une période de diminution des précipitations, aurait provoqué d’importantes famines. Le pouvoir central éthiopien migre et quitte les hautes-terres du nord-est où est située Aksoum pour les terres du centre de l’Ethiopie, où se concentre désormais la production agricole du royaume. Ce déclin, riche en péripéties historiques, voit le rétrécissement progressif de la zone de contrôle et d’influence du royaume d’Aksoum. A la fin du X° siècle, s’impose le fondateur de la dynastie Zagwé qui s’inscrit dans une continuité historique différente de celle de la dynastie salomonienne dont se réclamaient tous les Négus d’Aksoum. Ce changement dynastique marque la fin du royaume d’Aksoum, mais non pas la fin de la présence étatique sur les terres éthiopiennes. Un dirigeant se réclamant de la dynastie salomonienne reprend le pouvoir en 1270, début du Moyen-Age éthiopien. 
Cette période de l’histoire éthiopienne se caractérise par le raffermissement du système féodal. Sans doute plus de 95% de la population est composée de petits paysans, dépendants de régimes fonciers qui varient suivant les régions et les époques. Il y avait une grande diversité de systèmes coutumiers, juridiques et politiques sur l’étendue de l’empire éthiopien au Moyen-Age. Mais tous les paysans sont lourdement imposés par une classe rentière composée de l’empereur, de la noblesse, du clergé et d’une lourde administration. Au bas de l’échelle sociale, les paysans sans terres ainsi que les métayers qui devaient, si l’on s’en réfère à la situation de la fin du XIX° siècle, jusqu’à 75% des récoltes aux propriétaires, en plus d’autres impôts et des corvées obligatoires. Bien que sans doute plus complexe car plus étendu et devant faire face à une diversité culturelle et géographique supérieure sur son territoire, le système féodal éthiopien n’est pas sans rappeler celui d’Europe centrale et de l’Est, qui n’a pas permis le développement d’une classe bourgeoise à même d’en réformer les structures comme en Europe occidentale. Contrairement au Royaume d’Aksoum, l’Ethiopie du Moyen-Age n’est plus une grande puissance commerciale, et la division sociale sépare d’un côté les producteurs appauvris ou asservis (l’esclavage y était développé), et les rentiers de tous acabits. Il a manqué à l’Etat éthiopien cette classe de marchands et d’entrepreneurs qui allait permettre à l’Europe de connaitre le grand « bond en avant » de la modernité. 
Emmanuel Leroueil 
 


 
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